La voix des infirmières : le SNPI dans les médias (novembre 2022)

La voix des infirmières : le SNPI dans les médias (novembre 2022)

29 novembre 2022

Depuis la crise Covid, les infir­miers et infir­miè­res sont de plus en plus nom­breux à vou­loir lais­ser la blouse blan­che der­rière eux. Certains, épuisés par leurs condi­tions de tra­vail ou dégoû­tés du métier, déci­dent de se reconver­tir. Thierry Amouroux, du Syndicat natio­nal des infir­miè­res, expli­quait en juin au jour­nal Le Monde que 60.000 emplois d’infir­miers étaient actuel­le­ment vacants en France.
https://www.bfmtv.com/sante/je-n-en-pou­vais-plus-face-a-l-asphyxie-de-l-hopi­tal-les-infir­mie­res-a-bout-de-souf­fle-rac­cro­chent-la-blouse_AN-202211100523.html

L’arti­cle à lire pour com­pren­dre la crise que tra­verse la pédia­trie, au-delà de l’épidémie de bron­chio­lite
"Les soi­gnants sont davan­tage tou­chés quand il s’agit des enfants, expli­que Thierry Amouroux, du Syndicat natio­nal des pro­fes­sion­nels infir­miers (SNPI). Les pro­blè­mes sont décu­plés par rap­port aux adul­tes, car on n’accepte pas de voir que les enfants soient vic­ti­mes d’une mal­trai­tance ins­ti­tu­tion­nelle pour des rai­sons économiques."
Egalement en cause, la for­ma­tion ini­tiale des infir­miers "géné­ra­lis­tes". Depuis 2009, le cursus ne com­prend plus de stage ni de for­ma­tion obli­ga­toire en pédia­trie. "Avec cette sup­pres­sion, moins de per­son­nes choi­sis­sent la pédia­trie", cons­tate Thierry Amouroux.
https://www.fran­cet­vinfo.fr/sante/hopi­tal/crise/l-arti­cle-a-lire-pour-com­pren­dre-la-crise-que-tra­verse-la-pedia­trie_5465260.html

Premier recours en désert médi­cal : « Aujourd’hui, vous avez un pro­blème de démo­gra­phie médi­cale d’un côté, et de l’autre, une armée de 700 000 infir­miè­res bri­dées par une régle­men­ta­tion hors d’âge » Thierry Amouroux syn­di­cat infir­mier SNPI
https://www.lejdd.fr/Societe/pour­quoi-le-conseil-de-lordre-des-mede­cins-sop­pose-a-la-pos­si­bi­lite-de-pres­crip­tion-par-les-infir­miers-4150000

COVID19 réin­té­gra­tion des soi­gnants sus­pen­dus  : Faut-il empê­cher ces infir­miè­res, aides-soi­gnants et méde­cins de tra­vailler avec la pénu­rie de per­son­nel dans les hôpi­taux ? Un faux argu­ment, balaie pour sa part Thierry Amouroux, porte-parole du Syndicat natio­nal des pro­fes­sion­nels infir­miers : "Ça concerne un petit mil­lier d’infir­miè­res sur les 700 000 qui sont en exer­cice. Se vac­ci­ner pour pro­té­ger ces patients fra­gi­les, c’est un impé­ra­tif moral et déon­to­lo­gi­que."
https://www.fran­cet­vinfo.fr/sante/mala­die/coro­na­vi­rus/vaccin/on-va-rester-sus­pen­dus-dix-ans-la-ques­tion-de-la-rein­te­gra­tion-des-soi­gnants-de-nou­veau-sou­mise-a-l-avis-des-auto­ri­tes-medi­ca­les_5490222.html

COVID-19 : FAUT-IL RÉINTÉGRER LES SOIGNANTS NON-VACCINÉS ?
"Se vac­ci­ner pour pro­té­ger ces patients fra­gi­les, c’est un impé­ra­tif moral et déon­to­lo­gi­que", abon­dait lundi sur FranceInfo Thierry Amouroux, porte-parole du Syndicat natio­nal des pro­fes­sion­nels infir­miers, ajou­tant qu’un "soi­gnant hos­tile à la vac­ci­na­tion, c’est pour nous une erreur de cas­ting. Il vaut mieux qu’ils se reconver­tis­sent dans d’autres métiers".
https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-faut-il-rein­te­grer-les-soi­gnants-non-vac­ci­nes_AV-202211230306.html

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