Coronavirus : règles d’éviction et de reprise des professionnels soignants

24 mars 2020

Coronavirus : règles d’éviction et de reprise des pro­fes­sion­nels
 Les délais d’éviction d’un pro­fes­sion­nel COVID+ sont désor­mais de 7 jours après le début des symp­tô­mes (fin d’éviction au 8ème jour) et de 2 jours après la fin des symp­tô­mes. Pour les per­son­nels à risque de formes graves de COVID-19, le délai mini­mum est de 9 jours après le début des symp­tô­mes.
 Conditions de reprise de l’acti­vité pro­fes­sion­nelle : Le port de masque chi­rur­gi­cal est en continu pen­dant 7 jours après la reprise de l’acti­vité. Concernant les per­son­nels à risque de formes sévè­res de COVID-19, le port de masque sera pres­crit pen­dant 14 jours après la reprise de l’acti­vité. En fin d’éviction, une consul­ta­tion ou télé­consul­ta­tion sera effec­tuée avec le ser­vice de santé au tra­vail.

Partager l'article
     

Rechercher sur le site


Dialoguer avec nous sur Facebook
Nous suivre sur Twitter
Nous suivre sur LinkedIn
Suivre notre Flux RSS

Cadres infirmiers formateurs  : bâtisseurs de compétences, oubliés du système

Dans l’ombre des services, à l’écart du tumulte hospitalier, il est une fonction discrète sans (…)

Duplomb : une loi toxique pour la démocratie, l’environnement et la santé

Une fois encore, la santé publique est reléguée au second plan. La loi Duplomb, votée le 8 (…)

Consultation infirmière : des réalités de terrain à la reconnaissance

Chaque jour, dans l’ombre des cabinets, des services ou des domiciles, les infirmières mènent (…)

Malades et précaires : cibles prioritaires du plan d’économies Bayrou

Franchises doublées, ALD rabotées, arrêts maladie dans le viseur : le SNPI dénonce un projet (…)

Soignants pressurés : travailler plus sans gagner plus, encore une fois

Travailler plus, sans être mieux payé. C’est la logique brutale qui se cache derrière la (…)

Protection sociale : les exonérations creusent le déficit, pas les soins

Le déficit de la Sécurité sociale existe, oui. Mais il est faible. Ce qui est grave, ce sont les (…)