Mobilisation réussie pour peser sur les décisions

7 mars 2017

Les choix des politiques ont été de fermer 100.000 lits en 10 ans. Les établissements publics et privés ont atteint un point de rupture, tel que la ministre a du demander l’arrêt des opérations non-urgentes pour libérer des lits lors de la dernière épidémie de grippe !

Cette année encore, le ministère a planifié la fermeture de 16.000 lits et la suppression de 22.000 postes. Nous ne tiendrons pas ainsi un quinquennat de plus.

La mobilisation du 7 mars a été une réussite. Nous devons maintenant rencontrer les candidats aux élections présidentielles, afin d’obtenir un moratoire sur les plans d’économies dans la santé.

Le collectif des organisations infirmières a élaboré une plate-forme en 10 points, qui va être présentée aux candidats, afin que les choix de politique de la santé intègrent l’expression des infirmières : Plus d’informations

Partager l'article
     

Rechercher sur le site


Dialoguer avec nous sur Facebook
Nous suivre sur Twitter
Nous suivre sur LinkedIn
Suivre notre Flux RSS

Infirmières reléguées, soins déshumanisés : la vision inquiétante du MEDEF

Déficits, vieillissement de la population, explosion des maladies chroniques  : les constats du (…)

Infirmières retraitées en mission : l’État punit celles qu’il applaudissait hier

Les infirmières ont porté le système à bout de bras pendant la pandémie. Les infirmières (…)

Cadres infirmiers : les piliers invisibles d’un hôpital qui vacille

Ils tiennent les services à bout de bras. Absents des projecteurs médiatiques, oubliés des (…)

Canicule à l’hôpital : des vies en danger, faute d’adaptation

Chaque été, la chaleur revient. Et avec elle, les morts évitables. Malgré les alertes, la France (…)

Planning familial : quand l’État se défile, les femmes trinquent

Partout en France, les structures du Planning familial sont à l’os. Budgets gelés, subventions (…)

Loi infirmière : sans les décrets, l’accès aux soins reste bloqué

Loi infirmière : merci pour la loi, mais sans les décrets, les patients attendront. Car une loi (…)